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L'art-thérapie... pour vous ?

Vous traversez actuellement des difficultés, ponctuelles ou chroniques.

Elles génèrent une souffrance pour vous (et votre entourage proche),
malgré les actions concrètes que vous avez mises en œuvre pour les affronter.

Cette souffrance est souvent multifactorielle :

émotionnelle, médicalesociale, matérielle, spirituelle...






 

  • Vous estimez être dans l'impuissance d'avancer efficacement,

  • Vous subissez des phases d'inaction, durant lesquelles vous n'agissez plus    pour votre bien et ne vous reconnaissez plus dans vos actes,

  • Vous êtes de plus en plus isolé(e) face à votre problématique et vous    manquez de ressources (matérielles, psychiques, morales...) pour la résoudre. 

  • Vous perdez plaisir à "faire", comme si vos passions s'évaporaient.


Vous vous battez courageusement et avez l'ambition d'un mieux-être, mais :
 

Le saviez-vous ?

Depuis la crise sanitaire, la direction de la Recherche, des Études, de l'Évaluation et des Statistique a publié deux études qui mettent en exergue la hausse des syndromes dépressifs et des consultations pour ce motif, et estime que la proportion de jeunes présentant ce type de syndromes a doublé en l'espace de 5 ans (presque 1 personne sur 4 en 2020). Un syndrome dépressif majeur, évocateur d’un épisode dépressif caractérisé modéré ou sévère, est détecté chez 5,3 % de la population, soit environ 360 000 francais. Cette statistique est confirmée par les médecins, puisque 72% d'entre eux estiment que le nombre de consultation pour la santé mentale a augmenté de plus 50% par rapport à la fréquence habituelle.
Concernant la prise en charge médicamenteuse de la santé mentale, La France se situe derrière l'Espagne au 2e rang de la consommation des benzodiazépines en Europe».


Source

Ayant travaillé en tant que soignant et exerçant encore
auprès d'eux ainsi qu'auprès des travailleurs sociaux,
je peux confirmer que cette 
problématique 
de l'objectivation du patient est indissociable de ces métiers, et ce, malgré
toute l'humanité dont les professionnels font preuve.



Cependant, soyons clair : si un professionnel de santé ou un professionnel social se présente à vous dans votre parcours, c'est que son apport est INDISPENSABLE.
Aucune thérapie complémentaire ne saurait remplacer
un suivi conventionnel, prescrit, validé par l'institution.

À chaque épreuve, vous cumulez des ressentis négatifs :

Tristesse  •  Colère  •  Perte de sens  •  Épuisement  •  Incompréhension  •  Ennui
Auto-culpabilisation  •  Chute de l'estime de soi  •  Défiance envers l'
institution

(La liste est bien plus longue, malheureusement...)





Et par dessus tout, la frustration
de ne pas réussir à les exprimer de manière adaptée.

En effet, je ne vous apprends rien : dans une situation difficile, les mots peuvent rapidement ne plus suffire à exprimer une souffrance, ce qui peut entrainer un manque de communication crucial si aucune parole n'est accueillie.

"Personne ne m'écoute, ni ne me comprend vraiment"...
"Je n'ose pas parler de ça"... "J'aimerais tant me débarrasser de cette sensation dégueulasse !"




Cette frustration est décuplée dans un parcours institutionnel.

Médecins, infirmiers, aides soignants, éducateurs spécialisés, secrétaires,
moniteurs-éducateurs, experts, assistantes sociales, orthophonistes...


Se succèdent et vous observent, accèdent à votre corps, posent des questions
intrusives, vous notent dans des grilles d'évaluations, transmettent vos faits,
jusqu'à vous 
renvoyer l'impression de n'être qu'une étiquette, une maladie, des données cliniques à entrer dans un environnement normatif, prédéfini, froid.
Même un psychologue
 doit rendre des transmissions à l'équipe !




















Au final… qui vous écoute vraiment ?

Où, avec qui, dans quel cadre,
votre parole peut-elle véritablement être

exprimée et accueillie ?






"L'art-thérapie est sans doute le dernier lieu, en institution et ailleurs,
où il est possible de reprendre sa parole en main."
Jean-Pierre Royol, Docteur en psychologie, Directeur de l'école d'art-thérapie PROFAC





De nombreuses études prouvent aujourd'hui les effets thérapeutiques d'une pratique artistique et d'une stimulation adaptée de la créativité :

Libération émotionnelle  •  Action concrète sur le ressenti de la douleur et de l'anxiété
Regain de sens dans son quotidien  •  Recréation du désir  •  Hausse de la confiance en soi  Développement de nouvelles passions  •  Soutien pour traverser un deuil
Soutien moral  •  Entretien de la mémoire et de la motricité fine  •  Resocialisation
(La liste est bien plus longue, heureusement !)

En novembre 2019, l'OMS a admis officiellement que l'art est
bon pour notre santé, après analyse de plus 900 études :




























L'art-thérapeute

est un soutien de choix pour traverser votre difficulté.



Il considère que les mots ne sont pas la seule manière d'exprimer un ressenti et a appris à le faire avec l'art. il utilisera ses compétences pour que vous puissiez exprimer ce que vous ne pouvez pas exprimer par la seule verbalisation.

Vous pourrez être et vous sentir écouté et considéré véritablement.

Un suivi art-thérapeutique agira en profondeur sur la frustration décrite plus haut : vous obtiendrez de ses séances une respiration psychique, un allègement du poids émotionnel, possiblement des effets cliniquement constatables.

Il vous aidera à trouver en vous les clés pour agir avec une créativité nouvelle dans votre quotidien.

Il est désormais inclus dans les équipes pluriprofessionnelles de la santé et du social, cependant il a pour rôle de se maintenir à l'ombre de l'institution. Ainsi, ce que vous partagez avec lui restera strictement confidentiel.

Bien d'autres possibilités, dépendantes de votre problématique,
pourraient être énoncées ici.










De mon côté, l'art-thérapie est une pratique qui m'a beaucoup aidé et m'aide encore dans ma vie de tous les jours, jusqu'à me donner l'envie de l'étudier puis de la pratiquer à mon tour, depuis plusieurs années.





Si vous ressentez un besoin de mieux-être dans votre vie,

je ne peux donc que vous engager

à me contacter
pour un premier échange :


 














... Ou à continuer d'explorer ce site pour en apprendre plus !
(un peu plus bas, il y a un test qui pourrait vous intéresser...)











































 

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Émilie

Institut Médico-Éducatif

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Théo

Classe ULIS

frederique-bresson-propose-des-ateliers-d-arts-plastiques-autour-de-differentes-techniques

Julie

Séance de groupe

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Alberte

Pôle gérontologique

L'art-thérapie... c'est quoi, concrètement ?

Profitez de votre visite sur le site pour en apprendre plus...

Pour les plus curieux...

​

Les définitions peuvent varier en fonction des types

d'enseignements et de pratiques, cependant tous/tes

les art-thérapeutes s'accordent sur une même base :

c'est une méthode à visée thérapeutique pour aider

une personne à traverser ses difficultés par le biais de

la créativité.

​

Pour se faire, l'art-thérapeute va mettre en place un processus créatif défini par un cadre et une déontologie, sur plusieurs séances adaptées à la problématique du patient/sujet/participant.

​

Le mieux, c'est peut-être de la découvrir par vous-même, et ça tombe bien !
j'ai mis en place un test qui vous apportera une réponse personnalisée :

Voulez-vous savoir
quel type d'art-thérapie
est fait pour vous ?

(sécurisé et confidentiel)

Questions fréquentes :

​

Je ne sais pas dessiner/peindre/chanter ! L'art-thérapie est-elle faite pour moi ?

Bien sûr ! Il n'est absolument pas nécessaire d'avoir développé des compétences artistiques pour commencer un suivi art-thérapeutique. La technicité n'a pas sa place ici, ce n'est pas un concours. En art-thérapie, le but n'est d'ailleurs par la création elle-même, mais la créativité, ce qui est très différent. L'art-thérapeute sait adapter ses séances au niveau de chacun pour que l'expression artistique puisse avoir lieu. Dans le cas de réticences franches à s'essayer à la pratique artistique, l'art-thérapeute formé en art-thérapie contemporaine peut aussi proposer des séances d'art-thérapie sans production artistique.​

​

À partir de quel âge peut-on envisager un suivi art-thérapeutique ?

Dès la petite enfance (si la problématique est adaptée), et il n'y a évidemment pas d'âge maximum.

​

L'art-thérapie est-elle prise en charge par la sécurité sociale ?

La plupart du temps, non. Cependant, elle peut être prescrite par votre médecin et dans ce cas seulement, oui. C'est souvent le cas en institution, plus rarement dans le cadre strictement libéral.

​

Puis-je remplacer un traitement médicamenteux par de l'art-thérapie ?

Non. L'art-thérapie, en tant que thérapie complémentaire, accompagne le patient dans son parcours mais ne doit pas se substituer à un traitement médicamenteux. Il est primordial de respecter consciencieusement les indications et prescriptions des professionnels de santé présents pour vous, sans quoi un suivi art-thérapeutique ne pourrait pas être mis en place dans des conditions adaptées.

​

Dois-je investir dans du matériel ?

Cela dépend des art-thérapeutes, mais dans l'extrême majorité du temps, non. Dans mon cas comme beaucoup d'autres, j'apporte mon propre matériel en séance et n'ai jamais demandé à un participant d'investir dans du matériel. Cependant, si le participant souhaite apporter le sien et qu'il est utilisable en séance, c'est possible !

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Comment trouver un "bon" art-thérapeute ?

L'art-thérapie est une profession reconnue par les professionnels de santé. Renseignez-vous au préalable avant de commencer un suivi auprès d'un art-thérapeute : quel est son parcours ? Est-il inscrit au Registre National des Certifications Professionnelles (RNCP) et/ou détenteur d'un diplôme universitaire / sa formation a-t-elle l'agrément Qualiopi ? À son contact, n'hésitez pas à lui poser ces questions.

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Si vous habitez dans la région bordelaise, je connais un bon art-thérapeute que vous pouvez contacter       !

ici

Des informations utiles :

 

Qui est l’art-thérapeute ?
 


L’art-thérapeute est un thérapeute pouvant s'intégrer à une équipe pluridisciplinaire. Il possède des compétences artistiques et exploite les bienfaits d’une ou plusieurs techniques artistiques, notamment le pouvoir expressif, les effets relationnels, et la recherche des gratifications personnalisées esthétiques, afin d’aider des personnes à recouvrer, améliorer, maintenir des capacités d’expression, de communication ou de relation. Il stimule les capacités préservées physiques/mentales/sociales du patient par une activité artistique adaptée afin de restaurer l’estime, la confiance et l’affirmation des personnes conjointement avec une bonne qualité des ressentis physiques, la bonne adaptation de la structure corporelle et l’engagement dans l’élan moteur.

 

« L’art-thérapie est l’exploitation du potentiel artistique dans une visée thérapeutique et humanitaire. »

(Richard Forestier - Tout savoir sur l’art-thérapie, Favre éditions)

 

L’art-thérapeute a une méthode de travail fondée sur la rigueur thérapeutique, l’esprit rationnel et l’expression personnalisée artistique. Il établit un protocole de soins art-thérapeutique en lien avec l’objectif général de l’équipe paramédicale (objectif thérapeutique, stratégies thérapeutiques, évaluation…) et met en œuvre des moyens adaptés. L’art-thérapeute sait faire un bilan et une synthèse clairs, précis et justifiés. L’art-thérapeute n’est pas un psychothérapeute, ni un médiateur à support artistique : Il n’interprète pas l’œuvre. Il utilise l’activité artistique pour animer ou réorganiser le processus naturel d’expression, de communication ou de relation. Il sait, dans un but sanitaire, exploiter le pouvoir et les effets de l’art. Le verbal n’est pas sa modalité thérapeutique privilégiée.

 

« L’art-thérapie n’est pas là pour guérir, car l’art n’a pas cette fonction.

L’origine du mot « art » vient du latin ars, « faire avec ». En art-thérapie, on « fait avec » la joie, la souffrance, le réel indicible. La séparation entre « art » et « thérapie » est fondamentale ; l’art n’a rien à justifier ni à expliquer et reste fondamentalement étranger à la psychologie ; la thérapie, quant à elle, doit déposer les armes devant la recherche esthétique pour relier le créateur à sa création dans un cadre défini par une déontologie. »

(Le grand livre de l’art-thérapie, Angela Evers)

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Pour aller plus loin :

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Proposition de définition de Jean-Pierre KLEIN - Médecin Psychiatre


L’art-thérapie est un accompagnement de personnes en difficulté (psychologique, physique, sociale ou existentielle) à travers leurs productions artistiques : œuvres plastiques, sonores, théâtrales, littéraires, corporelles et dansées. Ce travail subtil qui prend nos vulnérabilités comme matériau, recherche moins à dévoiler les significations inconscientes des productions qu’à permettre au sujet de se re-créer lui-même, se créer de nouveau, dans un parcours symbolique de création en création. L’art-thérapie est ainsi l’art de se projeter dans une œuvre comme message énigmatique en mouvement et de travailler sur cette œuvre pour travailler sur soi-même. L’art-thérapie est un détour pour s’approcher de soi.

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Source : Cahiers de Gestalt Thérapie, Jean-Pierre Klein,

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Proposition de définition de Jean-Pierre ROYOL - Docteur en Psychologie

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Jean-Pierre Royol présente l’art-thérapie éclairée par la psychanalyse, il propose cette définition : « L’Art-thérapie est une méthode qui consiste à créer les conditions favorables au dépassement des difficultés personnelles par le biais d’une stimulation des capacités créatrices. » Il ajoute qu’elle n’autorise aucune interprétation et respecte, en premier lieu, la liberté d’expression du sujet. Tout comme il l’indique dans sa définition, il s’agit de stimuler les capacités créatives, et non pas de créer une œuvre d’art. Qu’est ce que la créativité ? Je m’accorde avec la pensée de Racamier : vivre, c’est se créer. L’acte de créer mobilise toutes les ressources de la psyché et élargit l’espace du jeu et de la liberté, c’est dans cet espace que le sujet peut se mettre à l’œuvre. Racamier ajoute qu’on crée toujours pour soi, pour trouver ce qu’on n’a pas encore rencontré, ce qui rejoint l’idée même du trouvé-créé si chère à Winnicott.
L’art-thérapeute et le psychanalyste peuvent partager quelques outils. Le premier outil qu’utilise l’art-thérapeute est une nouvelle façon de penser l’autre, et de lui faire une juste place dans notre discours et dans les séances d’art-thérapie. L’art-thérapie emprunte un concept fondamental, le transfert, le déplacement de représentations subjectives sur la personne de l’art-thérapeute, traduit par un affect. Ces représentations indiquent les différents modes de relation du sujet avec ses objets, l’art-thérapeute porte le masque d’une autre représentation. Le transfert est un compromis entre désirs de nature différente, l’un actuel, l’autre inconscient. Le désir actuel est le masque du désir inconscient, le refoulement a condamné l’inconscient au masque. Le raté, le fantasmé est caché par le masque, on ne répète (le transfert est une répétition d’un acte refoulé) pas n’importe quoi. Tout le travail de l’art-thérapeute n’est pas de renvoyer le patient à cette réalité, mais d’accueillir, de faire avec le discours présent du patient. L’art-thérapeute accepte le jeu du transfert parce qu’il y a quelque chose qui se joue, il accepte le masque au nom de la vérité du sujet. L’art-thérapeute est lui-même renvoyé à son affect, il est mû par le contre-transfert. Le transfert du patient est induit par le contre-transfert de l’art-thérapeute qui dit son désir, l’art-thérapeute fait une offre et cela entraîne une demande.
Un autre outil que l’art-thérapeute va emprunter à la psychanalyse est l’emploi des entretiens préliminaires, ces premières séances qui permettent à l’art-thérapeute de cerner la demande du patient et conduisent au désir manifeste qui sera la dynamique même des séances. Tout le travail de l’art-thérapeute consiste à cerner le désir du patient, à proposer une ouverture sur lui-même, sur son désir et sur le monde qui l’entoure.
L’éthique du bien faire est présente en art-thérapie qui est aussi une éthique du désir. Mais que veut dire bien faire pour l’art thérapeute ? Bien faire ne veut pas dire chercher à séduire ou à plaire, ni vouloir rendre beau, l’art-thérapie ne cherche pas non plus à faire faire à autrui ce qu’il a à faire. L’art-thérapie respecte la personne dans son expression entière, son expression singulière. La séance art-thérapeutique permet à tout un chacun d’apprendre son symptôme, de l’accepter, de vivre avec, de nouer et dénouer des liens, de composer avec ce symptôme qui est au cœur même du sujet.
L’art-thérapie est une création, une co-création dans un espace de recherche, d’inventions, un espace de libre-pensée, d’envolées imaginaires. Un espace où se manifeste aussi le silence, l’intervalle qui offre une espace vide nécessaire au déploiement du désir.

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Source : www.profac.com, à lire également : Quand l'inaccessible est toile, Jean-Pierre ROYOL

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Référentiel des compétences de l'art-thérapeute

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https://www.artherapie.com/docs/REFERENTIEL.pdf

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